Henri Tisot
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Plus gaulliste, tu meurs !

Henri Tisot blog  Plus gaulliste, tu meurs !

Révélations sur le drame des tours de Manhattan

      Henri TISOT avait abondamment parlé au chapitre XIII de son livre  Dialogue avec mon ange gardien (Editions du Cerf) de l'horrible événement survenu le 11 septembre 2001 à Manhattan. Le monde entier avait assisté en direct à l'effondrement des deux tours, celle du World Trade Center (Centre des affaires du monde) et celle du World Financial Center (Centre financier du monde).

   Bien que cet événement se soit produit le 11 septembre 2001, donc le 11.9.2001 selon notre calendrier, pour les Américains cette date devient: september.eleven.2001 c'est-à-dire le 9.11.2001.

 C'est un détail d'importance pour la suite de ce qui va être développé. Cependant, Henri en était resté à la dénomination du calendrier français qui fixe donc ce drame le 11.09.2001.

  Les deux tours qui annonçaient leur spécialité dans leurs noms, étaient le symbole de la mondialisation prônée par les Etats Unis d'Amérique et que l'Europe promulgue à présent pour son malheur. On travaille de toutes parts à faciliter la libre circulation des produits et le mélange des échanges et des commerces. En un mot, c'est de libéralisme qu'il s'agit, doctrine selon laquelle la liberté économique et le libre jeu de l'entreprise ne doivent pas être entravés. Autant de beaux mots qui, en retour, ne se soucient guère de qui sera broyé au passage, ni des lois naguère obtenues ou par les syndicats ou parfois par des révolutions, qui se trouvent du coup totalement bafouées et mises à l'encan. Et tout se trouve à refaire.

   L'effondrement des tours avait presque automatiquement conduit Henri à mettre en parallèle la catastrophe de Manhattan dont les deux tours abritaient 83 nations commerçant entre elles, avec l'épisode bien connu de la destruction de la tour de Babel où l'on assiste au mélange des langues. C'est ainsi que la curiosité le poussa à se référer à nouveau dans la Bible à ce passage qui traite de Babel. Et quelle ne fut pas sa surprise de constater que le mot Babel qui est un apax, c'est à dire qu'il ne se trouve cité qu'une seule fois dans la Bible, l'était très précisément au chapitre 11, verset 9  qui correspond curieusement à la date du 11.9. Les esprits forts feront immanquablement appel au hasard qui préside à l'édulcoration de leur esprit. Mais pour Henri, il s'agissait d'une coïncidence que l'on pouvait selon l'expression de Louis Pauwels qualifier d'abusive, tellement elle dépassait le cadre de la normalité. Et comment ne pas faire presque automatiquement, obligatoirement le lien entre les gratte-ciel et la hauteur démesurée pour son époque de la tour de Babel ?

    Toujours est-il que si à Babel, selon la Bible « l'un n'entend plus le langage de l'autre » (Genèse XI, 7), il paraissait difficile à Henri de ne pas en conclure que l'effondrement des tours de Manhattan correspondait au fait que « l'un n'admet plus le commerce (dans tous les sens du terme) avec l'autre », ce qui est le cas d'un certain islam qui souhaite se désolidariser de l'occidentalisation qui ne cesse de mordre sur sa propre culture. Mais il use pour parvenir à ses fins de moyens inqualifiables. Les victimes, rien que pour Manhattan, se comptèrent au nombre de 2.996, en majorité de nationalité américaine bien sûr, dont 343 pompiers, mais aussi de toutes les nationalités puisque le World Trade Center était situé en plein cœur du marché international. Il abritait des bureaux commerciaux dans lesquels presque toutes les nations de la planète étaient représentées. Les victimes toutes nationalités confondues appartenaient donc à 83 pays : un Babel affairiste.

   Henri demeurait sidéré et encore aujourd'hui, du fait que cette coïncidence événementielle de Manhattan du 11.9 avec l'épisode de Babel dans la Bible 11.9 n'avait jamais retenu l'attention de personne. Pourtant, le temps passant, il était intimement convaincu que se cachait derrière ce fait, un mystère qui demandait à être visité. Reportons nous au chapitre 11, verset 9, de la Torah :

 « C'est pourquoi on la nomma Babel, parce que là le Seigneur confondit le langage de toute la terre ; et de là l'Eternel les dispersa sur toute la face de la terre. »

  Et enfin, Henri signalait qu'à la suite de l'attaque du 11.9.2001 à Manhattan dont Ben Laden se trouvait être l'acteur principal, le président Bush avait porté la guerre à Babel pour viser uniquement Sadam Hussein avec une insistance incompréhensible à certains. Henri quant à lui, ne pouvait rien faire d'autre que de signaler cette curieuse coïncidence qu'il semblait une fois de plus être le seul sur la planète à avoir relevé, ce qui aux yeux des esprits forts accentuait la fragilité de la mise en exergue du fait qu'elle n'émanait que de lui.

   Toujours est-il que la mémoire d'Henri ne parvenait pas à effacer l'épouvantable spectacle de tous ces malheureux qui se jetaient du haut des tours pour échapper à la fournaise. C'était visuellement insoutenable et en conservant les victimes et dans sa mémoire et dans son cœur, il leur offrait la sépulture qu'elles n'auront jamais.

    Henri cependant s'était entouré au cours du récit de l'affaire, dans son livre Dialogue avec mon ange gardien, de nombreux garde-fous, et en tout premier lieu il avait mis l'accent sur le fait que Dieu n'était pour rien dans l'élaboration de cette coïncidence. Tout nous conduit à penser cependant qu'il  ne peut être dans les intentions divines de participer à la mise en place d'une mondialisation qui supprime l'individualisme. Dieu ne peut réclamer, cela va sans dire, que l'unité dans la diversité. Henri ne pensait pas s'avancer de trop en proclamant que Dieu est l'ennemi juré de cette uniformité que le totalitarisme de l'argent promeut afin de mieux s'étendre une fois les frontières abolies.

  Jésus a dit : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l'un et aimera l'autre, ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l'argent (Luc XVI, 13) ».

  Les constructeurs de l'Europe actuelle feraient bien de méditer cela.

  Pourquoi faut-il que nous Européens, prenions toujours jusqu'à le faire nôtre, le pire de l'Amérique et rarement le meilleur ? De la violence à la drogue et jusqu'aux sous-produits télévisuels d'outre-Atlantique, sans omettre les vocables américains, nous ingurgitons tout, et tandis que nous prétendons tout gérer, en réalité nous digérons tout ce que l'Amérique nous sert : la situation, les sentiments, les matches, l'éducation, la course à pied, que sais-je encore ? Le mot « gérer » est le maître mot de notre époque, peut-être parce que l'affairisme règne partout. Nous cultivons tout ce qui n'est pas la culture disait Henri qui rappelait ce que lui avait dit André Frossard : « La culture ça se cultive ! » et sans l'apport des O.G.M. (Organismes Génétiquement Modifiés) ajoutait humoristiquement Henri. Au moindre des détails, des allusions qu'il laissait transparaître dans son discours, on saisissait illico où et avec qui il se situait et communiait par la pensée.

 

  Mais alors, si Dieu n'était pour rien dans le fait avéré qu'il y avait concordance entre la date du drame des tours de Manhattan et la référence du chapitre et du verset biblique de la tour de Babel, autant dire concordisme…le mot est lâché ! qui donc peut bien se trouver être le moteur de cette sinistre affaire ? La question reste ouverte. Pourtant une fois son livre Dialogue avec mon ange gardien, édité par les Editions du Cerf et mis dans le commerce, Henri regretta amèrement de ne plus pouvoir faire un certain rajout d'importance. Ce rajout met virtuellement au banc des accusés, une personne tout particulièrement, et aussi les services qu'elle avait à sa disposition.   

   Mais cela pouvait paraître si fou qu'Henri laissait à ses lecteurs le soin de la nommer, de l'accuser, si d'aventure, ils parvenaient aux mêmes déductions que les siennes. Henri donnait les éléments qui l'avaient amené à se poser certaines questions, sans pour autant vouloir faire obligatoirement peser des soupçons sur la personne que pour sa part, il prenait la responsabilité d'accuser pour toutes sortes de raisons qui, à ses yeux se recoupaient. Mais si, une fois présentés certains éléments, le lecteur ne pensait pas à cette personne en particulier, c'est qu'Henri s'était mis le doigt dans l'œil comme l'on dit. Cependant, ce qui l'avait mis sur la piste émanait d'une personne au-dessus de tout soupçon et dont le journal La Croix avait publié les dires à l'occasion de son 90éme anniversaire. Rien ne dit d'ailleurs, qu'à travers ses propos, elle ait désiré accuser qui que ce soit. C'est Henri qui interprétait sa déclaration de telle sorte qu'il en venait à faire peser une terrible accusation sur la personne à qui il pensait. Mais il convenait de tout livrer en bloc et voir ensuite si le lecteur partageait son opinion. Le journal La Croix avait donc publié le 26 février 2003, les propos de Paul Ricoeur, philosophe incontesté et incontestable, à l'occasion de ses 90 ans. Paul Ricoeur est né le 27 février 1913. Les termes de cet entretien recueilli par Nathalie Crom, Bruno Frappat, Robert Migliorini ont été repris dans un énorme cahier consacré à Paul Ricoeur par les Editions de l'Herne 2004. Au cours de cet entretien Paul Ricoeur nous prévient : « Une société tellement complexe et contradictoire, ne peut faire le bilan d'elle-même. » Puis, on lui demande :

« - Vous connaissez bien les Etats-Unis où vous avez enseigné régulièrement pendant plus de quarante ans. A votre avis, pourquoi ne s'aime-t-on pas, entre Américains et Français ?

   - J'y vois certainement d'abord la compétition de deux révolutions, et peut-être de deux vocations à l'universalité. Mais je n'aime pas tellement rentrer dans ce jugement global. Disons que j'ai beaucoup apprécié l'université américaine, son fonctionnement, la qualité de la recherche qui y était menée. Et aujourd'hui, dans toutes les critiques que j'entends de l'état d'hystérie patriotique américain, je n'arrive pas à intégrer mon admiration pour cette université américaine. Mais il existe aussi tout un aspect de l'Amérique qui m'est non seulement étranger, mais insupportable : le fondamentalisme protestant, qui consiste à donner une sorte de symbolique biblique aux événements politiques. »

   Henri se demandait, à la lecture de ces lignes, si Paul Ricoeur lui-même protestant et qui dénonçait la dérive d'un fondamentalisme protestant américain, ne faisait pas ainsi par ses propos une allusion voilée à ce concordisme qui avait conduit à mettre en concordance le symbolisme biblique de la tour de Babel avec les événements politiques qui découlaient du drame des tours de Manhattan ?

 N'était-ce pas ce qu'il fallait entendre par ce « fondamentalisme protestant, qui consiste à donner une sorte de symbolique biblique aux événements politiques » ? That is the big question !

   Paul Ricoeur continuait en recommandant : « Ne pas sacrifier à l'antiaméricanisme primaire qui consiste à dire : puisque c'est américain, ce ne peut être que mauvais. Le rôle du philosophe est aussi de comprendre les enjeux. C'est là, selon moi, ce qu'il y a de particulièrement pénible à supporter dans la situation actuelle : cette méconnaissance des enjeux. Nous ne savons pas qui veut quoi. Pourquoi l'Irak et pas la Corée du Nord ? Quel est le rôle de l'enjeu pétrolier ? Est-ce que la décision de faire la guerre est déjà prise par les Etats-Unis ? Je me sens dans une situation de cécité intellectuelle, d'opacité totale sans précédent pour moi, et qui me paraît intolérable. » Ricoeur donnait ce conseil : « Il faut libérer le politique des critères qui ne sont pas de son ordre. C'est là que je trouve l'acquis de l'Occident : avoir bien dissocié la sphère politique de la sphère religieuse, non pas pour refouler cette dernière dans le privé mais dans un public non doté de puissance, de position institutionnelle. » Henri avait également souligné à l'encre rouge dans l'entretien en question, ces termes de Ricoeur : « Baudelaire disait que le moderne était le temps de l'éphémère et non pas de l'universel », et enfin cette pensée, sorte de feu d'artifices de l'esprit qui semblait chapeauter tout le trajet de Ricoeur : « La phrase qui m'accompagne toujours, c'est 'Être vivant jusqu'à la mort'. » C'est à quoi il parvint lorsqu'il nous quitta le 2 mai 2005 à l'âge de 92 ans.

   La modestie de Paul Ricoeur épatait Henri qui lui vouait à tout jamais une infinie reconnaissance d'avoir préfacé son livre Le Rendez-vous d'amour  aux Editions du Cerf. Henri n'était pas dupe du fait que l'aval de Paul Ricoeur valait tous les imprimatur, de même que le fait de s'abriter ici derrière ses propos pour en venir à des accusations voilées, leur donnait un certain poids.

    Pour clore cette réflexion sur l'épouvantable drame de Manhattan du 11.9, du 11 septembre donc, qui conduit au Texte biblique de  Babel alors que september 11 n'y mène pas, il semble bel et bien évident après tout ce qui vient d'être développé que les coupables de l'attaque des tours se sont donc ingéniés à faire « concorder » la date de leur terrible méfait avec une date en rapport avec l'événement biblique  qui était le plus évocateur de leur action. Henri par ailleurs, se devait de signaler que le président George. W. Bush était lié au fondamentalisme protestant dont il est un des affidés par le truchement de l'Eglise Méthodiste Evangélique qui se veut tout particulièrement fondamentaliste et dont il se réclame.

    La vision du film de Michaël Moore, Fahrenheit 9/11 (et non pas hélas ! 11/9, ce qui aurait éclairé le débat) et qui a obtenu la Palme d'or du festival de Cannes 2004, avait balayé tous les doutes qu'Henri pouvait encore avoir jusqu'alors. Toujours est-il, continuait Henri, que si, à ses yeux, Dieu n'est pour rien dans le déroulement du drame de Manhattan, il est peut-être pour quelque chose dans le fait que 9/11 ne mène à aucun concordisme entre le symbolisme biblique de Babel et l'événement politique de la destruction des tours de Manhattan, alors que 11/9 y mène à coup sûr. Cette coïncidence qui avait sauté aux yeux français d'Henri ne pouvait apparaître à un regard américain. Cela brouillait d'autant plus les pistes. Que penser ? 

 Enfin, pour clore et verrouiller ce chapitre Henri signalait que si, en anglais, le mot « Bush » signifiait « buisson », en hébreu il signifiait « honte ». André Chouraqui avait confirmé à Henri au téléphone, depuis Jérusalem où il réside que si « Bush » signifiait « honte » en hébreu, il s'agissait plus précisément de « la honte qui naît de la confusion ». Bref, à chacun, en conscience de tirer les conclusions qu'il jugera bon de tirer, mais « que celui qui a des oreilles pour entendre, entende ! (Luc VIII, 8.) »

     Mais Henri avait cependant conscience que son accusation était si folle, si incroyable, si peu raisonnable, qu'elle pouvait être balayée d'un haussement d'épaules par l'humanité entière. Mais n'était-ce pas de ce même haussement d'épaules, que la plupart des humains, lors de la deuxième guerre mondiale, avait accompagné les rumeurs selon lesquelles les juifs étaient tous voués à passer à la chambre à gaz pour terminer dans des fours crématoires ? Et quand il était question que l'on faisait des abat-jour de leur peau et du savon de leur graisse, alors, en plus du haussement d'épaules, l'orchestre des rires se mettait en branle. La grande force du diable est de faire des choses si incroyables qu'on est presque conduit à en être complices avant de comprendre enfin, que, c'est parce que c'est incroyable que cela hélas ! est possible ! 

  Henri ne pouvait clore ce chapitre sur Manhattan sans signaler que l'île avait été achetée aux Indiens Algonquins, au nom de la Compagnie hollandaise des Indes occidentales pour l'équivalent de 24 dollars en bimbeloterie de toutes sortes. C'est le colonisateur hollandais Peter Minuit qui fit la transaction de l'escroquerie. Faut-il en déduire que « bien mal acquis ne profite jamais » ? Les Anglais s'empareront de ce territoire en 1664 et le rebaptiseront New-York en l'honneur du duc d'York (le futur roi Jacques II).

    Cela dit, traduit de l'indien algonquin, le lieu dit Manhattan signifierait « l'île aux collines » ou encore « contrée céleste ». Mais Henri, en proie à sa maladie de l'étymologie, voyait dans le nom « Manhattan », le mot « man-homme » évidemment, mais aussi le fait que le verbe anglais « to hate-haïr » constitue une allusion, mais une allusion seulement, au mot « hattan ». Il en concluait que l'on pourrait interpréter « Manhattan » comme étant « l'homme haï ou l'homme haineux ou l'homme de la haine ». C'est bien le déferlement de la haine qui s'est manifesté sur l'île de Manhattan le 11 septembre 2001 et dont les malheureuses victimes étaient toutes innocentes.

   A peine Henri avait-il terminé de rédiger cet important chapitre, qu'une nouvelle coïncidence abusive de taille lui parvenait par le biais de son ami Colombat, le bien nommé puisqu'il ne cessait de travailler à rechercher la paix du monde. Henri était féru d'hébreu, Colombat était lui, féru de guématrie. Lorsqu'il abordait le sujet, il donnait le vertige à son auditoire qui avait certaines difficultés à le suivre tant était dense son message. Mais en ce qui concerne ce qui va vous être confié, tout était clair, ce qui accentuait d'autant le caractère effrayant de la révélation de Colombat. Voilà ce qu'il avait confié à Henri par portables interposés : « Henri, toi qui a mis l'accent sur 11.9 – Manhattan par rapport à Babel dans la Bible, chapitre 11, verset 9, ce que je vais te dire rejoint ta découverte. Tu sais comme beaucoup le savent qu'à New-York le numéro de téléphone des appels d'urgence, des S.O.S, est le 911, comme ici, en France, c'est le 18 pour les pompiers, le 17 pour la police et le 15 pour le S.A.M.U. Et si l'on s'en tient au calendrier américain, le drame de Manhattan s'est passé le 9.11. La coïncidence avec le numéro d'appel urgent 911 avait à l'époque frappée les esprits d'outre-Atlantique. 

  Mais il y a plus fort ! Henri je ne sais comment te présenter la chose pour qu'elle te parvienne avec le plus d'intensité. Faut-il que je te demande combien de jours séparent le drame de Manhattan et le terrible attentat de Madrid du 11 mars 2004 ? Ou bien dois-je te demander d'ajouter 911 jours à la date du 11 septembre 2001, pour aboutir au 11 mars 2004 ? Bref, inutile de te laisser sur le gril ! Tiens-toi bien et ceux aussi à qui tu le divulgueras : Entre le september – eleven – 2001, soit le 9.11.2001 (pour les New-Yorkais qui ont dû ce jour-là appeler en vain le 911 qui devait être surchargé) et le 11 mars 2004 où lors du quadruple attentat où trois bombes ont explosé dans les trains aboutissant à la gare Atocha de Madrid faisant 191 victimes  et près de 1.500 blessés, 911 jours séparent les deux dates de ces deux terribles drames.

   En effet, une fois le 11 septembre 2001 écoulé, il reste pour atteindre la Saint Sylvestre 2001, 110 jours, auxquels s'ajoutent 365 jours de 2002 et 365 jours de 2003, puis enfin, en tenant compte que l'année 2004 est bissextile avec un mois de février de 29 jours, soit 71 jours, il faut en conclure que 911 jours après Manhattan, les bombes explosent à Madrid dans la gare d'Atocha en Espagne.

  Peut-on raisonnablement penser, supposer que tout cela soit le fait du hasard ? : la date du drame de Manhattan : 9 .11 – le numéro d'appel d'urgence à New-York : 911 – et enfin, le fait avéré que 911 jours plus tard après le 11 septembre a lieu l'attentat de Madrid. 911 jours séparent ces deux évènements si dramatiques.»

  Henri répondit illico : « Bien sûr que non ! excepté les 191 victimes, chiffre à rapprocher de 911, ce qui la seule chose à mettre sur le compte du hasard. Mais pour le reste… » Colombat prit aussitôt la parole pour conclure : « Pour le reste ce n'est pas le fait du hasard, c'est le fait des sorciers ! Comprenne qui voudra. »  Henri enchaîna : « Quant aux esprits forts, qui eux mettent tout sur le compte du hasard, il leur reste le rire qui est l'échappatoire le plus pratique lorsque l'on ne veut pas se creuser les cervelles. De toutes les manières, le monde entier qui est aux mains du démon (monde-démon), a été mis en état de rire de tout. L'oubli et le rire sont les deux armes les plus efficaces du satan. La levure empoisonnée en est diffusée pour une bonne part par les séries télévisuelles américaines dont certaines chaînes télévisuelles françaises sont les imitatrices forcenées. Il n'y a même pas à les citer. Leurs sigles sont connus de tous. Au cours de tous leurs jeux, le maître mot est : 'Vous avez gagné, gagné, gagné… du fric !»

 

   En résumé, on trouvera au chapitre 11, verset 9 du premier livre de la Bible, le livre de la Genèse, que la tour de Babel a été anéanti par le Créateur souverain, ce qui a engendré le mélange des langues.

  De surcroît, le mur de Berlin est tombé le 9.11.1989, les tours de Manhattan sont elles tombées le 11.9.2001, et enfin la découverte de l'île de Manhattan par Henry Hudson (qui a donné son nom au fleuve du même nom), la découverte de l'île donc, s'est effectuée d'après le journal de bord, le 11.9.1609, date à laquelle l'équipage a mis pied à terre.

    Enfin, si l'on ajoute que l'explosion des trains de la gare d'Atocha à Madrid a eu lieu 911-912 jours (en tenant compte du décalage horaire) après Manhattan, soit le 11.3.2004, on considérera que cela fait beaucoup de coïncidences abusives.

    Appelons le 911 à New-York pour circonscrire ces faits troublants.

   



13/10/2010
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